Tu avait tout pour toi, tu étais belle, les gens t'appréciaient pour ce que tu étais, tu étais toujours souriante ... Mais il faut bien l'avouer, tu avais l'intelligence d'une moule ! Voir, même si une moule était plus dégourdit que toi ... Va savoir en réalité. Quoi qu'il en soit, je ne sais pas, tu ne prenais pas ma défense quand j'étais enfant quand ton mari me traîner dans la boue tel un moins que rien. Je l'étais peut-être qui sait. Mais je ne le serais jamais car j'avais beau tout faire, rien n'était assez bien pour vous. Même ce jour là tu n'as absolument rien fait. Au final, voilà où j'en suis dans la vie à présent. Enfin, toi et les deux autres, vous n'êtes plus rien pour moi, juste une tâche et mes géniteurs. Néanmoins, j'espère que tu peux regarder le monde présent car tu vois, je suis plus heureux sans vous ! 

Car on dit qu'une mère doit aimer ses enfants à en mourir. Cela fut le cas avant son arrivée. Après par contre, quelle horrible vie. Comme la mienne avant ce jour ! Une mage noir et ange noir, mais non, tu l'as préféré à moi. Je n'ai pas cherché à savoir. Je t'ai détesté, tu l'as bien remarqué quand tu as sentit ton cœur se serrer. Tu m'as regardé et ces mots ... Pourquoi me les dire maintenant, juste avant de mourir ? Pourquoi pas avant ce jour ?